Archives Mensuelles: avril 2015

Dimanche 7 juin, rencontre avec le grand Charles

Le dimanche 7 juin, vous êtes pris, le grand Charles vous appelle. Non, pas celui du 18 juin, l’autre dont on peut pas dire le nom sinon on va en prison et qui par ailleurs n’apparaît déjà plus dans les livres d’histoire.

Bon, allez, on mets un euro dans le cochon, il s’agit du grand et de l’unique Charles Martel, pourfendeur à l’époque, à son corps défendant, du vivre-ensemble et de la diversité (oups). C’est vrai qu’à l’époque, il n’y avait pas de socialistes pour nous casser les c… S’ils avaient existé, ils auraient probablement mis en examen Charles Martel pour usage injustifié de la légitime défense, les moyens de défense employés étant disproportionnés. O tempora, o mores !

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Cinéma russe : le 9ème escadron

Etant particulièrement fatigué du cinéma impérialiste américain, nous vous proposons « Le 9e escadron » (9 рота en russe), film russe réalisé par Fiodor Bondartchouk sur la guerre en Afghanistan (1979-1989), sorti en 2005 et qui remporte le prix de l’Aigle d’or à Moscou, en 2005. Le scénario s’inspire de faits réels qui se sont déroulés au début de 1988, lors de l’opération Magistral, quand les recrues du 9e escadron de la division des parachutistes ont accepté de combattre pour la colline 3234.

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La gauche est une salle d’attente pour le fascisme

Pour rappel, Mussolini est d’abord membre du Parti Socialiste Italien (PSI) et directeur du quotidien socialiste Avanti! à partir de 1912.

En ce qui concerne Hitler, il adhère au DAP (Deutsche Arbeiterpartei) qui deviendra NSDAP (Nationalsozialistische Deutsche Arbeiterpartei). Traduction : Parti Ouvrier Allemand National-Socialiste. Le National-Socialisme, c’est comme le Radical-Socialisme … C’est d’abord un socialisme à dimension national ou radical. On ne parle pas de Social-Nationalisme, et donc d’un nationalisme à dimension social …

 

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7 ans de prison pour le buraliste de Lavaur : « Je suis Luc Fournié »

« Je suis Luc Fournié » : on a tous en mémoire le calvaire de  René Galinier en 2010, ce vieux monsieur de 73 ans originaire de Nissan dans l’Hérault, placé malgré son âge, en détention préventive. L’émotion avait été si forte qu’Elie Aboud, le député de la circonscription avait rendu visite au prisonnier incarcéré à la maison d’arrêt de Béziers et qu’un soir, à la télé, Xavier Bertrand, alors ministre du travail déclarait  à une question qu’on ne lui posait pas  « s’il y a un scandale, c’est celui de ce vieux monsieur qui est en détention préventive pour avoir tiré sur deux cambrioleuses qui s’étaient introduites dans sa villa… ». Les choses n’avaient pas trainé et après un jeu de chaises musicales judiciaires, le détenu était libéré au bout de 60 jours grâce à un lobbying efficace des identitaires de la Ligue du Midi. « Papy » Galinier comme on le surnomma dès lors affectueusement devrait être jugé en juin de cette année 2015; la légitime défense sera au cœur des débats.

Cette fois-ci c’est dans le Tarn, que le buraliste  Luc Fournié a été condamné par la cour d’assises d’Albi à la peine disproportionnée de 7 ans d’emprisonnement et incarcéré sur le champ pour avoir abattu un cambrioleur chez lui, de nuit. Pourtant l’affaire paraissait simple et avait de fortes chances de déboucher sur un acquittement.  Mais en France, en matière de légitime défense, ce genre d’affaire n’est jamais simple. Résumé : le buraliste Luc Fournié est averti, par sa sœur, 4 jours avant les faits, que les barreaux d’une fenêtre avaient été sciés. Ce n’est pas la première fois que cela se produit. Le buraliste prévient les gendarmes –une fois de plus- et  décide de monter la garde dans sa boutique : «On était sur le qui-vive depuis plusieurs jours et je croyais que les gendarmes nous protégeaient ». Il dort  avec à proximité un fusil de chasse chargé et dispose quelques chaises en équilibre de façon à être réveillé en cas d’intrusion. En pleine nuit, il entend du bruit, distingue deux silhouettes et fait feu à deux reprises. Un des cambrioleurs meurt sur le coup, le second prend la fuite.

L’affaire, pour un jeune étudiant en droit, ne fait pas problème : il y a d’évidence légitime défense si l’on se réfère aux articles du Code pénal. En effet, l’article 122-6 stipule :
« Est présumé avoir agi en état de légitime défense celui qui accomplit l’acte : pour repousser, de nuit, l’entrée par effraction, violence ou ruse dans un lieu habité … »
Mais l’article 122-5 qui donne la définition de la légitime défense apporte une précision qui va s’immiscer au cœur du débat:
« N’est pas pénalement responsable la personne qui, devant une atteinte injustifiée envers elle-même ou autrui, accomplit, dans le même temps, un acte commandé par la nécessité de la légitime défense d’elle-même ou d’autrui, sauf s’il y a disproportion entre les moyens de défense employés et la gravité de l’atteinte ».

Dans cette affaire, les conditions du paragraphe 6 semblaient être remplies, en outre le buraliste  agissait pour défendre sa personne et sa famille et enfin le fait de se saisir d’un fusil de chasse dans le noir face à deux agresseurs semblait ressortir de la  notion de proportionnalité. Et bien NON et ce en raison du discours ambiant droit de l’hommiste  qui met  sur le même pied une racaille et un honnête commerçant. La légitime défense est un droit naturel qui implique, qu’à travers toutes les époques, on a le droit de se défendre quand on est attaqué, la notion de riposte proportionnée, n’étant qu’un faux nez destiné à incapaciter les braves gens.

Faudrait-il alors que tous les buralistes de France se mettent à la pratique du karaté –et encore pourrait-on leur reprocher que la pratique d’un art martial peut constituer une circonstance aggravante- ou alors, l’agressé devra t’il proportionner les coups qu’il va donner avec ceux qu’il est en train  de recevoir ; l’agressé devra t’il demander à ses agresseurs s’il peut prendre un temps de réflexion afin d’analyser si la riposte envisagée est proportionnée au millimètre près. Peut-être pourrait-il également inviter les malfaisants  autour d’une tasse de thé, leur demander s’ils sont eux aussi adeptes des sport de combat et s’ils ne dissimuleraient pas par hasard sous leurs vêtements, une arme blanche ou à feu. On en revient à l’affaire Galinier où un membre du parquet avait déclaré sans vergogne : « Galinier aurait dû s’enfermer dans une pièce et téléphoner à la gendarmerie ». Le problème, c’est que « Papy » avait déjà téléphoné à deux reprises à la gendarmerie et que préférant  faire confiance à l’adage, « il vaut mieux être vivant en prison que mort au cimetière », Galinier avait fait ce que son devoir d’homme lui imposait, à savoir assurer sa défense quand la société n’était pas capable d’y pourvoir. Je ne sais pas si cette réaction s’appelle de la légitime défense, mais je sais en tous cas que sa défense était légitime.

Aujourd’hui, les commerçants sont en première ligne dans le combat pour la reconnaissance de la légitime défense. En 2010 l’affaire Galinier, avait démontré le caractère insupportable d’une telle situation et les hommes politiques de droite n’ont pas eu plus de courage, hier, que ceux de gauche aujourd’hui pour renverser cette situation par une modification de la loi en instaurant, par la sanctuarisation du domicile, une présomption absolue de légitime défense dès lors qu’un logement ou une échoppe subit une intrusion maligne évidente.

Voilà pourquoi, jusqu’à la libération du buraliste de Lavaur,  je suis Luc Fournié !

Ligue du Midi
BP 1-7114
30912 – Nîmes cedex 2
Tél: 07 83 47 42 42

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Le Shérif de Nottingham cible la mouvance identitaire

Le Shérif de Nottingham, celui qui sert le Prince Jean à l’Elysée, a décidé de cibler la mouvance identitaire.

Le Shérif de Nottingham veut sécuriser le pouvoir de l’Oligarchie, c’est probablement plus important que protéger les français des djihadistes. Alors restons-en avec ce triste sire, sur la chanson de Robin des bois :

Quand on parlera de ce Prince Jean
Qui fut un temps le roi
Chacun dira de ce gredin :
Quel triste souverain !
Tandis que le bon Roi Richard
Se bat chez les barbares
Nous sommes saignés à blanc
Pour ce bon à rien de Jean
Plus bête qu’une oie
Sans foi ni loi
Au-dessous du pire
On l’appellera
Messire le roi de mauvais aloi
Maudit soit le roi de mauvais aloi
Dessus le trône
Bien trop grand pour lui
Ce nain est mal assis
Il voudrait être un souverain
Mais il n’est qu’un pantin !
On le voit souvent grincer des dents
Pour peu qu’on le courrouce
Alors il appelle sa mère
Il suce son pouce bêtement
Voyez, le voilà qui boude
Il veut qu’on l’appelle Jean le Preux
Mais il ne sera que Jean l’Affreux
Messire le roi de mauvais aloi
Je trouve plaisant cet endroit, ouais
Cependant qu’il prend tout notre argent
Tandis qu’il nous friponne
On voit au front de ce larron vaciller sa couronne
Mais tant qu’il y aura de braves gars dans la bande à Robin
Ils reprendront à ce fripon
De quoi manger du pain
Sans qu’il s’en avise, l’adroit Robin
Lui subtilise sa chemise
Sans foi ni loi
Le roi de mauvais aloi
Cafard vicieux, pernicieux
Plus méchant que Satan
Papelard, fripouillard
Et coquin en tout point
Vile charogne
Sans vergogne
Messire le roi de mauvais aloi

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Ne vous laissez pas dominer par le pouvoir

Je commencerai par citer Noam Chomsky : « “Tout gouvernement a besoin d’effrayer sa population et une façon de le faire est d’envelopper son fonctionnement de mystère. C’est la manière traditionnelle de couvrir et de protéger le pouvoir : on le rend mystérieux et secret, au-dessus de la personne ordinaire. Sinon, pourquoi les gens l’accepteraient-ils ?” [Noam Chomsky, Comprendre le pouvoir, premier mouvement, 1993] ».

Nous appelons nos concitoyens patriotes à ne pas accepter d’être dominés par le pouvoir. Car nous sommes des êtres libres et nul n’a le droit moral de nous contraindre à subir des politiques et une propagande contraire à notre volonté, nos désirs et nos intérêts légitimes en tant que peuple. 

Le pouvoir n’est fort que de nos peurs, de notre incapacité à nous organiser, d’agir de manière disciplinée, de développer une pensée cohérente, une vision sur l’avenir et une véritable stratégie.

Souvenez-vous du journaliste Irakien lançant une paire de chaussure sur George Bush ! Par son geste, il a dit « Non » à l’oligarchie !

Nous avons collectivement le droit à nous opposer à un pouvoir qui nous spolie, qui nous menace, qui agit contre nos intérêts fondamentaux, qui nous vole nos droits politiques, qui pratique une coercition physique, psychologique, juridique, économique contre toute forme d’opposition à ses vues.

Ce pouvoir n’est pas constitué de surhommes. Ils ne vous sont pas supérieurs. Ils ont des problèmes de couple, des maitresses, des comptes en suisse, la main qui tremble, des pigeons qui leur chient sur l’épaule, des rages de dent, des problèmes intestinaux. Imaginez les au petit coin et tout de suite cela les fera descendre de leur trône dorée dans votre esprit.

« Au plus élevé trône du monde,on n’est jamais assis que sur son cul » disait Montaigne.

Apprenez à ne plus être dominé. Changez mentalement.


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I like ou la putréfaction de la pensée


Il ne vous est jamais venu à l’esprit, vous français, adeptes de la logique, spécialistes de la symétrie (cf « le jardin à la française ») de vous interroger sur le fameux « I like » de Facebook ? En toute logique, si nous trouvons un bouton « I like » (« J’aime »), nous devrions trouver juste à côté un mignon bouton « I don’t like » (« Je n’aime pas »). En effet nous pouvons aimer, mais également ne pas aimer certaines choses. Il est simple d’aimer, mais cela révèle une certaine force de caractère voire un esprit critique pour ne pas aimer. On écartera l’oubli involontaire du bouton « I don’t like » ou le manque de moyens financiers de Facebook pour implémenter le bouton. L’absence du bouton « I don’t like » a un but précis et qui ne doit rien au hasard. Nous vous révélons un secret : les américains ne se sont pas contentés de vous bombarder de leurs productions Hollywoodiennes et de leurs fastfoods, ils vous ont également intoxiqués avec leurs valeurs. Le politiquement correct, c’est eux. Le multiculturalisme, c’est eux. La théorie du genre, c’est encore eux. Concepts sur lesquelles se sont jetés « les forces de progrès » françaises en mal d’idées. « I like », c’est tout le symbole d’une amérique où l’on fabrique le consensus et donc le consentement. La dictature soft d’une masse de moutons dominée par une oligarchie constituée de rapaces. Ne pensez pas par vous-même. Ne réfléchissez pas. N’ayez pas d’esprit critique. Ne vous faites pas remarquer en parlant et agissant différemment du groupe. C’est le consensus mou. On fait risette à l’entourage et l’on dit le contraire de ce que l’on pense. On en arrive à avoir honte d’avoir de mauvaises pensées. Sur Facebook se produisent des choses absurdes, des « I like » sur des vidéos ou des photos que les gens détestent, mais des « I like » qui veulent en réalité dire « I don’t like ». En quelque sorte l’exercice involontaire de la double pensée orwellienne … Chaque fois qu’un européen appuye sur le bouton « I like », l’américain Facebook pratique sur lui un entrainement mental à la perte de tout esprit critique, comme le hamster dans sa roue. Alors, la prochaine fois que vous cliquez sur « I like » … réfléchissez ..,

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