Lu ici, Manuel Valls déclare :
« Il y a actuellement « plus d’une centaine de Français ou de résidents en France » qui combattent en Syrie le régime de Bachar Al-Assad, a affirmé dimanche Manuel Valls, lors lors du « Grand Rendez-Vous » organisé par Europe 1, iTélé et Le Monde. « Il y a plusieurs centaines d’Européens qui aujourd’hui se trouvent en Syrie, qui en sont revenus, qui veulent y aller », a affirmé le ministre de l’intérieur.
« Un certain nombre d’entre eux sont revenus, ce qui rajoute à cette centaine, une dizaine d’entre eux sont morts là-bas, a détaillé M. Valls. La difficulté c’est qu’ils vont combattre un régime que nous condamnons nous-mêmes. Beaucoup combattent dans l’armée officielle de l’opposition, d’autres peuvent se retrouver dans des groupes djihadistes qui sont sur des listes d’organisations terroristes. » ».
A la Ligue Francilienne, on a toujours cru que les ennemis de nos ennemis sont nos amis. Pour le pouvoir français schizophrène, les ennemis sont des amis. Et les ennemis des ennemis sont des ennemis.
La schizophrénie est une maladie mentale se développant généralement au début de la vie adulte. Elle est caractérisée par des difficultés à partager une interprétation du réel avec les autres, ce qui entraîne des comportements et des discours bizarres, parfois délirants.
Sur la photo, Raphaël Gendron, un Français de 38 ans, tué en avril 2013 en Syrie alors qu’il combattait contre les troupes du régime de Bachar al-Assad. Il était proche des milieux islamistes belges et s’était rendu au Proche-Orient il y a plusieurs mois.
C’est au sein des Faucons du Sham, une brigade islamiste dirigée par Abdelrahman Ayachi, fils de l’ancien imam radical Bassam Ayachi, que le Français combattait dans le nord de la Syrie. Résidant à Bruxelles depuis plusieurs années, il était l’une des chevilles ouvrières du Centre islamiques belge Assabyle (CIB), considéré comme l’un des foyers du radicalisme islamique en Belgique.
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