Archives de Catégorie: Cinéma

Portrait d’un jeune combattant


Le film Portrait d’un jeune combattant (Portretul luptatorului la tinerete) relate la résistance entre 1948 et 1956 du militant gardiste Ion Gavrilă-Ogoranu après l’occupation de la Roumanie par les soviétiques. Ion Gavrilă-Ogoranu (1er janvier 1923 – 1er mai 2006) était membre de la Légion de l’Archange Michael, un mouvement qui s’est vu comme une croisade luttant contre le libéralisme, la corruption politique, le communisme. Combinant spiritualité chrétienne, nationalisme ethnique, dévotion supra-personnelle à son peuple et son roi, et ethos guerrier. Après l’occupation soviétique athée de la Roumanie chrétienne orthodoxe, il est chef d’un groupe de résistance armée dans les monts Fagaras de 1948 à 1976. La résistance roumaine fut la plus longue guérilla anticommuniste. Pendant 29 ans, il n’a pas été capturé.

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Le jeudi 29 octobre 2015 à 20h00, 1er Festival du Film russe

Soirée exceptionnelle – Projection du Prix du public du 1er Festival du Film russe « Quand les Russes rient » (ici)

Romance de bureau, un film d’Eldar Ryazanov (1977), précédé de « Un sur deux », un film de Nikolaï Kotiash (2014), grand-prix pour le meilleur court-métrage du Festival « Quand les Russes rient »

Le jeudi 29 octobre 2015 à 20h00 au Cinéma Le Grand Action. 5, rue des Ecoles, Paris 5e. Cocktail offert à l’issue de la projection. Infos pratiques : Places disponibles à la caisse du cinéma Le Grand Action : 5, rue des Ecoles, Paris 5e. Tél. 01 43 54 47 62. http://www.legrandaction.com

Romance de bureau (Служебный роман)
Un film d’Eldar Ryazanov avec Alissa Freindlikh, Andrei Miagkov, Liya Akhedjakova, Tatiana Nemoliaeva, Oleg Bassilachvili.
1977, 145’, VOST français
Comédie/mélodrame
La vie terne d’un employé divorcé et timide va brusquement changer le jour où il décide de séduire la patronne de son administration, une femme sévère et distante qui ne manifeste aucun intérêt en dehors du travail. Un rôle sur mesure pour la grande Alissa Freïndlikh. Prix du public du Festival « Quand les Russes rient ».

Un sur deux (Каждый первый)
Court-métrage de Nikolaï Kotiash.
2014, 26’, VOST français
Comédie sociale
Un inspecteur de police est appelé dans un restaurant pour prendre la déposition d’une cliente. On lui aurait volé son portefeuille. Faisant preuve de grand professionnalisme l’inspecteur va vite comprendre qu’un petit crime peut en cacher plein d’autres. Grand-prix Meilleur court-métrage du Festival « Quand les Russes rient ».

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Cinéma russe : le 9ème escadron

Etant particulièrement fatigué du cinéma impérialiste américain, nous vous proposons « Le 9e escadron » (9 рота en russe), film russe réalisé par Fiodor Bondartchouk sur la guerre en Afghanistan (1979-1989), sorti en 2005 et qui remporte le prix de l’Aigle d’or à Moscou, en 2005. Le scénario s’inspire de faits réels qui se sont déroulés au début de 1988, lors de l’opération Magistral, quand les recrues du 9e escadron de la division des parachutistes ont accepté de combattre pour la colline 3234.

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L’exception culturelle française

L’assimilation fonctionne, la preuve en images. Comédie de 1985.

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Ressemblance frappante

Je me disais que le ministre de l’intérieur Cazeneuve me rappelait quelqu’un. Je comprends mieux pourquoi je le trouvais antipathique naturellement.

L’huissier qui se fait traité d’enfoiré de merde au service du pouvoir.

Le ministre, au service de la république, qui lui mérite tout notre respect.

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Les hommes français doivent revenir virils

Nous vivons désormais dans un pays d’hommes sans couilles.

Journée de la jupe à Nantes … des garçons adolescents à qui on demande de mettre des jupes.

Mais où sont les pères ? Ou est la virilité ? Ou sont les hommes dans ce pays pour tolérer une telle chose ?

Demander à nos jeunes mâles de porter la jupe est un casus belli de la part de la junte au pouvoir contre le peuple français.

Les mâles français doivent cesser de penser comme des eunuques et doivent redevenir des hommes.

A défaut, nous disparaîtrons.

Ecoutez William Wallace … Il portait le Kilt, mais il était un homme.

William Wallace : Dignes fils de l’Écosse, je suis William Wallace !
Un soldat : William Wallace fait sept pieds de haut !
William Wallace : Oui, c’est ce qu’on m’a dit. Et il tue l’ennemi par centaines, hein ? Et s’il était là, ses yeux lanceraient une pluie d’éclairs à faire trembler l’armée anglaise, et des boules de feu seraient projetées de son cul. Je suis William Wallace ! Et que vois-je ? Toute une armée de mes compatriotes réunis en défiance de la tyrannie ! C’est en hommes libres que vous êtes venus vous battre, en hommes libres que vous êtes. Mais comment garder votre liberté ? Il faut se battre !
Un soldat : Contre ces troupes ? Non, on préfère fuir, on préfère vivre !
William Wallace : Oui, battez-vous et vous mourrez peut-être. Fuyez et vous vivrez, quelques temps du moins. Et un jour, sur vos lits de mort, bien des années auront passé et peut-être regretterez-vous de ne pouvoir échanger toutes vos tristes vies épargnées à Stirling pour une chance, une petite chance de revenir ici et tuer nos ennemis, car ils peuvent nous ôter la vie mais ils ne nous ôteront jamais notre liberté !

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La force de la foi des francs : la bataille de Montgisard le 18 novembre 1177

Michel le Syrien, qui connut bien Baudouin, nous a raconté le geste émouvant du roi lépreux à cet ultime moment : « Il descendit de sa monture, se prosterna la face contre la terre devant la Croix et pria avec des larmes. À cette vue le coeur de tous les soldats fut ému. Ils étendirent tous la main sur la Croix et jurèrent de ne jamais fuir et, en cas de défaite, de regarder comme traître et apostat quiconque fuirait au lieu de mourir. Ils remontèrent à cheval et s’avancèrent contre les Turcs qui se réjouissaient pensant avoir raison d’eux. En voyant les Turcs qui étaient comme la mer, les Francs se donnèrent mutuellement la paix et se demandèrent les uns aux autres un mutuel pardon. Ensuite, ils engagèrent la bataille ».

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Entre capitalisme et communisme, l’exception culturelle française, cela doit être cela …

Alexandre le Bienheureux … un film délicieux de 1968 de Yves Robert, musique de Vladimir Cosma … Lorsque sa femme meurt, Alexandre (incarné par un brillant Philippe Noiret) décide de se consacrer à sa grande passion: la paresse. Il se couche pour plusieurs semaines. Son chien lui rapporte les provisions que lui sert la jolie Agathe, qui finit par le séduire. Mais, au moment de l’épouser, il se ravise, sa liberté et sa paresse risquant d’être compromises.

Bouge pas comme ça, tu me fatigues. Toujours dans mes jambes, toujours à me renifler, à pousser du museau, à faire le guet. Oui. Je bouge, tu dors couché en rond, je m’arrête pour attendre, te voila en arrêt à renifler le vent. Bouge pas comme ça, tu me fatigues, je te dis. Toi aussi, faut que tu remues, que tu cavales, mais qu’est-ce qu’ils ont tous ? On a le temps. Faut prendre son temps. Faut prendre le temps de prendre son temps. Comprends-tu ? Regarde-les, mais regarde-les donc : d’un bout du champ à l’autre, ils courent. Après quoi, je te le demande, hein ? Crevés comme moi, ils sont, le soir. Ils s’endorment fatigués et ils se réveillent plus fatigués encore. Et ça continue, et ça n’en finit pas de durer et d’être pareil. Pfff ! Y’a un moment, je sais pas, moi, mais je sais bien que c’est pas ça, quoi. Dis-donc, chien, paraît qu’on condamne des gars aux travaux forcés. Je connais ça, les travaux forcés, pourtant j’ai rien fait, moi. Bouge pas comme ça, tu me fatigues, puis tu me rappelles quelqu’un. Dis donc, tu as déjà regardé une fleur de carotte ? Eh, tiens, bah regarde ça, ben tu vois, c’est ça la vie. Tiens, je m’en roule une, puis je vais me la faire moi-même, puis je vais prendre le temps de me la faire, puis je vais prendre le temps de me la fumer, puis je vais prendre le temps d’en profiter, et puis je vais prendre le temps… (bâillement)…

Déjà Lao-Tseu disait 500 à 600 ans avant Jésus-Christ :  « Il n’y a point de chemin vers le bonheur. Le bonheur, c’est le chemin. »

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La France attendra le rapport de l’Onu avant d’agir en Syrie

François Hollande a annoncé vendredi son intention d’attendre la présentation du rapport des inspecteurs de l’Onu sur l’utilisation d’armes chimiques en Syrie avant de déclencher une opération militaire contre le régime de Bachar al Assad …

Hollande en Syrie, c’est comme Jean-Claude Dusse qui fait du karaté dans les bronzés … Que de la gueeuuuule. Il bat des ailes et puis c’est tout !

M. le président, s’il vous plaît, un peu de respect pour la France, les Français et la fonction présidentielle. Vous nous ridiculisez aux yeux du monde ENTIER.

On revoit ce grand moment d’humour français, et l’on remercie le président d’avoir rappelé Jean-Claude Dusse en service commando …

Une déclaration de votre part M. Hollande manquait au G20, une déclaration à la Jean-Claude Dusse avec sa combattivité à trois franc six sous, « On n’attaque pas dans le dos, je vais te perforer le thorax ! ».

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Se relever et se relever encore jusqu’à ce que les agneaux deviennent des lions !

Rise and Rise Again Until Lambs become Lions … Robin des Bois.

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