… A la botte de l’Oligarchie qui leur signe leur chèque en fin de mois. Elle est bonne la sousoupe.
Panagiotis Lafazanis, de la Plateforme de gauche Grecque (article original ici) :
“il devient impératif de quitter la zone euro et ainsi de redéfinir nos relations avec l’UE, d’autant plus, que cette dernière est devenu un véhicule irréparable et irréformable de la seule volonté des banques et du néo-impérialisme de l’Allemagne. La zone euro et l’UE ont subi une mutation profonde et irréversible et devenant l’espace vital de l’impérialiste allemand. Le choix de l’euro est devenu celui de l’intégration dans la sphère d’influence économique allemande. Il n’est plus possible de reformer ou de refonder la zone euro, ni l’UE ; on ne peut que les renverser. La sortie prévue de la Grèce de la zone euro permettra la mise en œuvre d’un programme de redressement progressif, elle n’est en aucun cas un choix catastrophique, c’est plutôt la réponse positive et crédible face à la crise. La Grèce devrait abandonner son eurocentrisme étroit et myope, autant que son euro-atlantisme de la servitude. C’est pour cela que la Plateforme de gauche rejette les orientations jugées essentielles par le Parti de la gauche européenne