C’est en France. En 2013. Bienvenue dans votre nouveau camp de rééducation. Le changement, c’est maintenant.
Mais nous aussi, on est coriace. ONLR.
Plus d’info ici.
C’est en France. En 2013. Bienvenue dans votre nouveau camp de rééducation. Le changement, c’est maintenant.
Mais nous aussi, on est coriace. ONLR.
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Un collectif d’avocat, le CARP, déposera une centaine de plaintes le jeudi 6 juin à 14h au palais de justice de Paris.
De plus ce collectif appelle à un rassemblement pacifique au Trocadéro le vendredi 7 juin à 19h30 sur le parvis des droits de l’homme, pour dénoncer les violences policières.
Contrôles d’identité abusifs, gardes à vue arbitraires et passages à tabac de jeunes manifestants par des policiers en civil se comptent par centaines.
50 gardes à vues le 25 mai, 174 sur la seule esplanade des Invalides (pour seulement 14 poursuites) au soir du 26 mai, 93 arrestations devant le lycée Buffon le 27 mai !
La France devient progressivement un état totalitaire.
L’État français, qui prétend faire la morale à la Turquie et à la Tunisie, ferait mieux de balayer devant sa porte et de respecter les libertés fondamentales qu’il bafoue allègrement à l’encontre de ses opposants politiques.
Les avocats, soucieux des libertés fondamentales et des droits de la défense, dénoncent ces arrestations arbitraires, appellent à un rassemblement pacifique et invitent les militants, les victimes, les associations engagées dans la protection des droits civiques et tous les citoyens épris de justice à se joindre une manifestation Place du Trocadéro, vendredi 7 juin, à partir de 19h30 sur le parvis des droits
de l’homme, pour dénoncer, dans le calme et la dignité, ces atteintes intolérables.
Pour tout contact : pressecarp@gmail.com“
Source : le site du Printemps Français
C’est un véritable scandale ! Intolérable. Mais où sommes nous, dans une république bananière, en corée du nord ou encore en Union Soviétique !
Nous appelons tous les mouvements politiques patriotiques à soutenir nos amis de la Ligue du Midi façe à ce véritable scandale !!!!
Le Comité des Ministres du Conseil de l’Europe a été saisi jeudi 25 avril 2013 d’une question écrite mettant en cause la gestion par le gouvernement français des manifestations en faveur de la famille, ainsi que l’impunité dont bénéficient les Femen.
Le Comité des Ministres du Conseil de l’Europe regroupe les ambassadeurs des 47 Etats membres du Conseil de l’Europe. Il exerce notamment un rôle de surveillance du respect par ces Etats de la démocratie, des droits de l’homme et de l’Etat de droit.
L’auteur de cette question est M. Luca Volontè, député italien, Président du groupe PPE à l’Assemblée Parlementaire du Conseil de l’Europe (APCE). Le PPE, Parti populaire européen, est le principal groupe politique de l’APCE, c’est un parti de centre-droit dont l’UMP est adhérant.
Le Comité des Ministres devra apporter une réponse écrite et circonstanciée à cette question dans les prochaines semaines. A cette fin, il demandera au gouvernement français de s’expliquer sur sa gestion des événements. La réponse adoptée par le Comité des Ministres est dotée d’une autorité politique : elle peut exprimer une préoccupation, formuler des recommandations, etc. L’intérêt de cette procédure est d’évoquer au niveau européen des situations problématiques qui peinent à trouver une solution au niveau national pour des motifs de politique interne, et si nécessaire, de faire ainsi pression sur le gouvernement en cause.
Cette question écrite a été déposée le lendemain de la tenue d’un séminaire co-organisé par l’ECLJ sur les nouvelles atteintes à la liberté de conscience causées en Europe par les lois relatives au mariage, à l’adoption homosexuelle et à la non-discrimination. Les intervenants y ont notamment dénoncé le climat croissant d’hostilité et d’intolérance à l’encontre du christianisme en Europe et des personnes attachées à la famille et à la morale naturelles. Cette hostilité se traduit notamment par une violence de plus en plus ouverte et tolérée, y compris par certains grands médias et partis politiques. Un diaporama de ces agressions et violences a été présenté. Plusieurs députés ont alors convenu de se saisir du sujet, d’où cette question écrite.
Voici le texte de la question écrite déposée, par le député italien Luca Volontè :
« Le mouvement social de défense de la famille et des droits des enfants qui anime actuellement la France, à l’occasion notamment de très grandes manifestations, fait l’objet d’une répression croissante et inquiétante, inacceptable de la part d’un Etat membre du Conseil de l’Europe. Cette répression est attestée par de nombreuses vidéos, photographies et témoignages.
Ainsi, par exemple, lors de la manifestation du 24 mars 2013, de nombreuses personnes dont de très jeunes enfants, des femmes et des personnes âgées ont été violentées et gazées sans nécessité par les forces de l’ordre. Régulièrement, des passants dans la rue sont arrêtés et verbalisés seulement en raison du port d’un vêtement ou d’un insigne marqué à l’effigie du mouvement. Les témoignages affluent de personnes frappées par la police. Le 19 avril, un prêtre qui tentait de protéger un jeune a été jeté à terre, frappé, et mis en garde à vue. Le 14 avril, 67 jeunes gens qui participaient à une veillée pacifique (bougies, silence et chants) ont été arrêtés et placés en garde à vue.
A l’inverse, des mouvements violents, tels que les « Femen », multiplient leurs agressions contre les manifestants et contre des lieux de culte dans une totale impunité. »
M. Volontè
Demande au Comité des Ministres:
Face à ces évènements, quelles mesures le Comité des Ministres entend prendre pour engager le Gouvernement français à mettre un terme à cette violence, pour enquêter sur les agressions réalisées par les « Femen » et pour empêcher qu’elles se renouvellent à l’avenir. »
Rassemblement ce soir lundi 29 avril à 18 heures 30 devant le Palais de Justice de paris
Pour rappel, le communiqué du CARP (Cercle des avocats contre la répression policière) :
« Alors que le gouvernement a fait adopter dans la précipitation et ce au mépris d’une opinion de plus en plus hostile, la loi dénaturant l’institution du mariage et fragilisant les plus faibles, les violences policières se multiplient. Hier Pascaline a été interpellée devant l’assemblée nationale alors qu’elle était seule, un tee shirt de la manif pour tous qui dépassait de son blouson, par deux policiers en civil. Après l’avoir contrainte à se rendre près du métro Assemblée nationale, elle a été violemment frappée par ces policiers accompagnés dans ces œuvres de basse police politique, par deux gendarmes. Cet acte de violence n’est hélas pas isolé.
Depuis plusieurs jours, des jeunes gens, en majorité des jeunes filles, se font prendre à partie de manière isolée par des agents de la force publique. Ces faits de violence répétées par des personnes dépositaires de l’autorité publique à l’encontre des opposants à la loi Taubira, sont hélas suffisamment récurrents pour ne pas y voir une volonté politique de museler cette résistance pacifique en dissuadant les plus faibles des manifestants comme ce fut le cas avec la garde à vue des 67 campeurs de l’assemblée nationale.
Pascaline et avant elle, Marie Astrid, Gabrielle, Thomas ou encore Dominique ont décidé de porter plainte. Le cercle des avocats contre la Répression policière (le Carp) demandent expressément au Procureur de la république d’engager des poursuites judiciaires contre les auteurs de ces violences. Alors qu’un syndicat représentatif de magistrats affiche dans ses locaux un « mur du çon » sur lequel figurent les noms des pères de victimes odieusement assassinées, il est temps que les victimes soient reconnues.
Un rassemblement sera organisé lundi 29 avril à 18 heures 30 devant le Palais de Justice de paris pour dénoncer ces violences et demander solennellement au Parquet et à Madame Taubira de rendre justice. »