Un jour nos enfants nous accuseront.
Ils nous accuseront de ne pas avoir continué l’oeuvre intemporelle de nos ancêtres.
Ils nous accuseront de ne pas avoir cultivé le passé glorieux de la France pour construire un avenir radieux pour nos générations à venir.
Ils nous accuseront de ne pas avoir eu de courage et de nous être collectivement comportés comme des lâches.
Ils nous accuseront d’avoir sacrifié l’avenir du pays pour pouvoir vivre encore un peu.
Ils nous accuseront de nous être soumis face à une cohorte de traîtres en tout genre et de tous bords, bons à passer devant le peloton.
Ils nous accuseront de nous être compromis et vendus à l’ennemi.
Ils nous accuseront.
Adieu ma France… Tu n’es plus celle que j’ai connue, le pays du respect des valeurs, de l’hymne et du drapeau, le pays de la fierté d’être français. Adieu ma France des trafics en tous genres, du chômage, de l’islamisme, de la polygamie, du laxisme, de la permissivité, de la famille décomposée… Adieu ma France réduite à l’état d’urgence, ma France déconstruite, en guerre avec elle-même. Je veux, néanmoins, demeurer optimiste et croire en ton sursaut. Mais qui te sauvera ?«